Très vite lancée dans la vie active pour financer ses études de Lettres Modernes, Hélène Laly obtient une maîtrise à la Sorbonne Nouvelle. Attachée à Paris, elle s’en éloigne souvent mais y revient toujours. Elle goûte aux ateliers d’écriture. 

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En 2014, Hélène Laly publie aux Éditions Lacour son premier recueil de nouvelles Si Einstein était une fille, où elle exprime son goût immodéré pour l'intrusion du surnaturel dans la réalité. Dans la droite ligne de cet ouvrage, parait ensuite son premier roman Le baiser de la cigogne aux Éditions Ipagination (2017).

Outre les genres de la nouvelle et du roman, elle expérimente ceux de la poésie et du haïku.

Nombre des textes d'Hélène LALY paraissent dans des revues ou sont primés lors de concours. Récemment (2020), sa nouvelle En cage est sélectionnée pour figurer dans le Hors-Série édité par la revue Quinzaine (Éditions Nouvelles). En septembre 2020, son poème Rêverie paraît dans le N°180 de la revue trimestrielle Florilège; elle collabore par ailleurs à la revue belge Moments (2020 - 2021).

Son désir d’éclectisme la pousse par ailleurs vers d’autres expériences littéraires, au croisement de plusieurs formes artistiques privilégiant musique et son.
C’est ainsi que certains de ses poèmes sont mis en musique et donnent lieu à la création de mélodies pour soprano et piano. Elle écrit aussi le livret de La Caryatide, cantate pour soprano, récitant et orchestre, qui sera ensuite donnée en concert à Paris.
Dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine 2014, La Compagnie Les Gens de la voix lui commande également une série de lettres imaginaires, Huit lettres du soldat Paul à ses proches. Cela donne lieu à une déambulation originale en huit points emblématiques de la ville de Clichy-La Garenne, où musique et littérature s’entrecroisent.​

Enfin, lors du concours AFH - Fête des feuilles (Lyon - 2012), cinq de ses haïkus donnent lieu à une flânerie sonore dans le parc de la Tête d'Or, permettant au promeneur d’entendre les œuvres à l'approche des arbres.

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Elle reçoit le Prix lycéen organisé par la ville de Castres et la revue l’Encrier renversé pour sa nouvelle La fée du Canal Saint-Martin (2012) et passe ainsi plusieurs jours auprès d'élèves et professeurs de cinq classes.

Ces rencontres passionnantes la confrontent à des aspects de son texte qu’elle n’avait pas imaginés.

Très sensible à la question de la maltraitance infantile dont elle a été victime dans son enfance, Hélène Laly travaille actuellement à un nouveau roman qui viendra puiser ses racines dans cette expérience.

Elle cherche par ailleurs une maison d’édition pour son recueil de 44 poèmes ayant trouvé leur inspiration dans des tableaux de Nicolas de Staël.